Un peu de pub avant le weekend…
… à la semaine prochaine!!!
Archives mensuelles : avril 2011
Revue de concert: Black Angels Vs. Black Mountain
Les Anges Noirs contre la Montagne Noire! Petit bilan de 2 concerts de rock psychédélique 70s auquel j’ai assisté en février et mars:
The Black Angels à la Cigale (11 février 2011)
J’avais déjà eu l’occasion de voir les Texans en mini-concert dans les studio de Canal+ mais jamais en condition de « vrai » live. Rendez-vous cette fois à la Cigale, à Paris, une bonne nouvelle pour les oreilles, vu la très bonne acoustique de la salle.
Black Angels, c’est propre, carré, pro, mais peut-être un peu trop lisse.
Les morceaux des 3 albums s’enchaînent bien, le groupe assure, le son est bon, mais j’ai eu du coup un peu l’impression d’écouter un Best Of sur une chaîne hi-fi avec le son très fort. Je m’attendais à plus d’impro, de « lâchage », en concert. Un concert sympathique mais qui du coup ne marquera pas plus que ça ma mémoire.
Le bonus de la soirée: la fille du merchandising m’a offert badge et stickers car je lui ai sauvé la vie en lui donnant… un stylo!
Black Mountain à la Flèche d’Or (29 mars 2011)
Après un passage à la Maroquinerie à l’automne dernier pour présenter leur dernier opus (lire le compte-rendu ici), les Canadiens sont de retour à Paris.
Un son un peu crado, une scène minuscule et une salle comble.
Si le jeu de scène, à l’instar des Black Angels, n’est pas très remuant, les Black Mountain balancent du gros son dès le départ, avec les morceaux les plus pêchus du dernier album Wilderness Heart, qu’ils agrémentent ensuite des meilleurs titres de leurs 2 précédents albums.
On s’ennuie un peu pendant les morceaux acoustiques qui cassent un peu le rythme à mon goût. Heureusement, le son électrique électrisant revient vite pour nous faire headbanger comme il faut.
Pas de répit entre les morceaux, puisque Jeremy Schmidt au synthé comble les blancs avec de chouettes impros. Caché au fond de la scène, Joshua Wells est bien présent dans l’obscurité. En sueur au bout de 2 morceaux, il martèle furieusement ses fûts. Derrière sa Gibson SG ou sa Les Paul Standard, Stephen McBean envoie des gros solos, et on voit qu’il prend plaisir et ne se contente pas de réciter son morceau, notamment sur le surpuissant Let Spirits Ride, qui rappelle Black Sabbath, et surtout sur le dernier morceau avec un No Hit qui n’en finit plus. Très bonne soirée, on en redemande!
Les 1ère parties: Rock psyché à la française, cowboys et indiens
C’est Wall Of Death qui a ouvert le concert des Black Angels. Des petits français héritiers de la vague de rock stoner / psychédélique de leurs cousins d’Outre-Atlantique.
La musique est très chouette, le son déjà pro, mais le chant ne suit pas… un gros potentiel à faire progresser.
Le bonus: de très chouettes visuels. Pour une fois, j’ai craqué sur un T-shirt!
http://www.myspace.com/inthewallofdeath
A la Flèche d’Or, c’est Spindrift qui assure la 1ère partie de Black Mountain.
Un coup de coeur pour ces Californiens qui ont dû regarder des tas de films de Sergio Leone et écouté un peu trop les Shadows.
La squaw flûtiste / chanteusetoute de cuir et de franges vêtue nous envoûte de sa douce voix et j’ai cru à chaque instant que la Horde Sauvage allait débarquer dans la salle pour se livrer à un duel à mort à coups de Winchester!
A écouter ici: http://www.myspace.com/thewest
« Red Reflection » @La Flèche d’Or from ROCK TIMES
La pin-up de la semaine n°56: Lynda Carter
Lynda Carter (née le 24 juillet 1951 à Phoenix, Arizona) Mens. 94D-69-94 (37-27-37); 1,73m, 61kg (5ft8, 135lb)
Actrice américaine, Lynda Carter est surtout connue pour son rôle dans l’adaptation télévisée des aventures de la super-héroïne Wonder Woman dans les années 1970.
Pendant ses études, elle se tourne vers la musique et chante dans divers groupes entre 16 et 21 ans. Mais le succès arrive grâce à son physique exceptionnel: elle remporte l’élection Miss USA en 1972 et arrive en demi-finale de l’élection de Miss Monde.
Elle prend alors des cours de comédie à New York et débute par des apparitions dans des séries télévisées, notamment Starsky and Hutch, et dans le film de Série B. Bobbie Jo and the Outlaw où elle tourne son unique scène dénudée. Le succès n’est toujours pas au rendez-vous. Lynda arrive à bout de ses économies et s’apprête à rentrer en Arizona, quand elle décroche le rôle de Wonder Woman en 1976.
La série est un immense succès et Lynda Carter devient une star. Les aventures de cette amazone aux pouvoirs surnaturels dureront 4 ans et 60 épisodes. La série plait aussi bien aux enfants qu’à leurs papas, séduits par la tenue sexy et les formes avantageuses de l’héroïne. Pour Lynda Carter, c’est le début d’une longue Carrière, essentiellement à la télévision.
Elle ne délaisse cependant pas la chanson et enregistre un album, Portrait, en 1978. Elle interprète 2 de ses chansons dans des épisodes de Wonder Woman et se produit à Las Vegas et Atlantic City.