La pin-up de la semaine n°34 : Annie Philippe

On me l’a réclamé à corps et à cri (n’est-ce pas, Romain?), voici une pin-up française!

Annie Philippe (née le 17 décembre 1946 à Paris)

Chanteuse française, elle interprète des chansons à succès telles que Ticket de quai, J’ai tant de peine, Pour qui pour quoi, Baby love

Formée jeune à la danse classique, c’est au Club Twenty One, discothèque parisienne à la mode, où elle travaille comme disc-jockey, qu’elle est remarquée. Elle enregistre un premier disque sur Riviera, filiale de Barclay et connait le succès en 1965 avec son deuxième 45 tours J’ai tant de peine, composé par Guy Marchand, puis en 1966 avec son tube Ticket de quai. Ensuite, les succès s’enchaînent : C’est la modeMes amis mes copainsLe temps des poupées, Le mannequin

Elle sillonne les routes de France et tourne notamment avec Jacques Dutronc et Claude François, avec lequel est vit une courte romance, avant de prendre un peu de recul.
Dans les années 1970, elle fait parler d’elle en exposant sa plastique dans les pages du magazine Lui de janvier 1972.
Surfant alors sur la vague disco, elle enregistre un maxi disco en anglais en 1978.
Dans les années 80, elle fait la première partie des Forbans à l’Olympia (1985) et tourne avec Jean-Paul Belmondo dans Itinéraire d’un enfant gâté, de Claude Lelouch (1988).
C’est grâce à l’émission de télé La Chance aux Chansons, de Pascal Sevran, qu’elle se relance dans la chanson, avec Frank Alamo. Ils enregistrent un nouveau duo et se produisent en gala et lors de la tournée Age tendre et tête de bois. Annie Philippe se produit régulièrement dans les soirées Juke Box au Petit Journal Montparnasse et prépare un nouveau disque et une série de concerts pour 2010.

 

La recherche de l’appartement idéal (à Paris) : la quête du Graal

Avis à la population!
Je profite de mon blog pour lancer un appel auprès de tous mes lecteurs : Je cherche désespérément un appartement à Paris.
Dans la pratique, c’est un 2 pièces de 40m2 (ou plus) pour 950€ maximum (ou moins!) et se situe plutôt dans l’Est Parisien (ou proche ligne 6/8 et/ou RER B). Je suis preneur de tout bon plan, même si l’immeuble ne date pas des années 70! 😉
Dès que j’aurai trouvé, le laisserai par la même occasion un F2 de 35m2à Versailles (proche gares Chantiers et Rive Gauche).

(Me contacter par e-mail : Thomas – civetom [@] gmail.com)

Mais dans l’idéal, mon appartement ressemblerait à ça :

Le salon

Accueillant et confortable, on peut y :
– recevoir ses amis pour un « drink »  ;
– écouter de la musique ;
– regarder la télévision ;
– bouquiner ;
– jouer de la guitare ;
– ranger les livres, les disques…

La cuisine
Pratique, fonctionnelle, la cuisine est le lieu de stockage des aliments, de la vaisselle et des appareils électro-ménagers. Monsieur ou Madame y prépare les repas, les apéritifs, les cocktails. Un bar « à l’américaine » apporte un peu plus de convivialité lorsque l’on reçoit des amis.

La salle de bains
On aime s’y pomponner, se faire beau… Elle doit être pratique, lumineuse et l’espace doit y être optimisé.

La chambre
Espace de repos, de détente, et plus si affinités, la chambre doit par essence être confortable, cosy, avec un choix de matières moelleuses et de couleurs chaudes. Elle abrite bien sûr le lit, mais également un espace « dressing » avec des rangements pour les vêtements, bijoux, et autres parements indispensables.

Est-ce que quelqu’un a déjà dormi sur un lit rond? Moi, jamais, mais je serai curieux de tester!



L’extérieur
Une piscine est bien sûr un plus, si l’espace s’y prête… Aux beaux jours, elle fait le bonheur des petits et grands!

En cas de difficultés pour dénicher son « home sweet home », on peut toujours choisir l’option itinérante : maison transportable, camping-car, train, ou même l’avion à vivre comme Hugh Heffner, le patron de Playboy.
A suivre…

TV 70s : The Monty Python’s Flying Circus

Cette bande de joyeux drilles à l’humour absurde a révolutionné la télévision dans les années 70.
Troupe de comiques britannique, les 6 membres des Monty Python (Graham Chapman, John Cleese , Terry Jones , Eric Idle , Michael Palin et Terry Gilliam) débarquent le 5 octobre 1969 sur la BBC. Les 45 épisodes de la bientôt culte série télévisée Monty Python’s Flying Circus seront diffusés jusqu’au 5 décembre 1974.
La série fut diffusée aux États-Unis en 1975. En France, il faudra attendre… 1991!

Inspirés de l’humour burlesque d’avant-guerre (It’s that Man Again!, sur la BBC) et des Goons (émission d’humour radiophonique de Peter Sellers et Spike Milligan), leurs sketches bouleverse les codes de l’époque : leur influence est comparée à celle des Beatles dans le domaine musical et dépasse largement les frontières du Royaume-Uni et du monde anglo-saxon.
Afin d’éviter une chute de mauvais niveau à la fin des sketches, certains étaient délibérément dénués de chutes. Les Monty Python ont également inauguré la méthode du démarrage à chaud, c’est à dire sans générique de début. Parfois même le générique de fin, pour piéger les spectateurs était suivie d’une parodie des programmes de la BBC. Une autre fois le générique de fin suivit directement celui du début.
D’autres sketches se terminaient brutalement, passant directement à une autre scène, par exemple ou en faisant intervenir le « Colonel » Chapman qui arrivait sur les lieux d’un sketch en ordonnant son arrêt immédiat, car les choses étaient devenues « beaucoup trop idiotes ».
Bien souvent les séquences filmées alternaient avec des animations innovantes réalisées en collage par Terry Gilliam.
Autre innovation, les 6 comédiens interprétaient la plupart des rôles aussi bien masculins que féminins.

Cleese quitta l’émission après la troisième saison Le reste du groupe a continué une saison où Cleese continua d’apparaître dans certains sketches. Après l’arrêt de l’émission télévisée en 1974, le groupe entama une carrière au cinéma avec 3 longs-métrages réalisés par eux-mêmes avec les moyens du bord :
Sacré Graal ! en 1975 (Monty Python and the Holy Grail)
La Vie de Brian en 1980 (Monty Python’s Life of Brian)
Le Sens de la vie en 1983 (Monty Python’s The Meaning of Life)

Chaque membre de la troupe a poursuivi des projets de cinéma ou de télévision : Brazil en 1985 (réalisé par Terry Gilliam), Un poisson nommé Wanda en 1988 (avec John Cleese et Michael Palin) ou encore Les Aventures du baron de Münchhausen en 1989 (par Terry Gilliam, avec Eric Idle).

Certains sketches de l’émission sont devenus des monuments emblématiques de l’humour absurde anglais, tels que
Le Perroquet (The Parrot)
Le Ministère des démarches absurdes (Ministry of Silly Walks)
La Blague la plus drôle du Monde (Funnniest Joke In The World)
La Clinique des disputes (Argument Clinic).
En France, des comiques comme Alain Chabat et les Robins des Bois notamment ont été fortement inspirés par les Monty Python.

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=whHfE48b4VA]
[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=FQaypso2KyI]
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En savoir plus :

– Wikipedia (Français / Anglais)
MontyPython.net : Un site de fan ou vous même retrouver et télécharger les citations cultes!
La chaîne Youtube OFFICIELLE des Monty Python
Flyingwebsite : Une chaîne Youtube avec les sketches sous-titrés en français

Classement wikio : 34000 places gagnées !

Je ne sais pas trop pourquoi, et vu que je me trouve toujours dans les profondeurs du classement, ça ne sert pas à grand chose, mais LOST IN THE SEVENTIES est passé au mois de juillet de la 54238è à la 19871è place du classement général des blogs publié par Wikio.

Wikio - Top des blogs

Dans la catégorie « Divers », il est passé de 44396è à la 13200è place.

Wikio - Top des blogs - Divers

Voilà une information franchement inintéressante pour vous, mais ça me permet d’écrire une note de blog de feignant, héhé… 😀

La pin-up de la semaine n°33 : Carol O’Neal

Une fois n’est pas coutume, une pin-up à petit seins, car il en faut pour tous les goûts!

Carol O’Neal (née le 18 août 1948 à New York) Mens. 89A-64-89; 1,68m, 53,1kg

Mannequin américain, Carol est Playmate du mois pour le magazine Playboy de juillet 1972.
Après une expérience d’hôtesse de l’air, Carol O’Neal entre à Playboy comme réceptionniste en 1970, espérant y trouver une carrière plus prometteuse. En charge des mannequins, elle passera devant l’objectif 2 ans plus tard.
Elle fait partie des premières mannequins a exposer ses poils pubiens dans Playboy, y compris sur le poster central.