La pin-up de la semaine n°83: Marlène Jobert

 Marlène Jobert (née le 4 novembre 1943 en Algérie) 1,64 m (5′ 4½ »)

Actrice, romancière et conteuse pour enfants française, Marlène Jobert est surtout connu pour ses rôles au cinéma du milieu des années 60 à la fin des années 70.

Au début des années 60,
après des études d’art (dessin, comédie) au Conservatoire de Dijon, elle suit des cours de drame et d’art au Conservatoire de Paris. Pour subvenir à ses besoins, elle travaille comme modèle photo et comme figurante au cinéma.
Elle fait ses 1ers pas au théâtre dans quelques pièces avant de conquérir le public en 1963 dans Des clowns par milliers, avec Yves Montand. En 1966, elle décroche un rôle majeur au cinéma dans un Masculin, féminin de Jean-Luc Godard, aux côtés de Brigitte Bardot, Jean-Pierre Léaud et Chantal Goya.
En 1967, elle joue dans 8 films et pièces pour le cinéma, la télévision ou le théâtre, dont Le Voleur, de Louis Malle, avec de Jean-Paul Belmondo, et la sérié télé Les Chevaliers du ciel.
Le rôle qui la révèle au grand public est celui de Rita dans Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages de Michel Audiard, au côté de Bernard Blier. Suivent 2 succès: L’Astragale, et le thriller Le Passager de la pluie, avec Charles Bronson et Annie Cordy.

Dans les années 1970,
Marlène Jobert se consacre essentiellement au grand écran, avec une vingtaine de films dont les plus marquants sont:
Dernier domicile connu de José Giovanni, avec Lino Ventura, dans le rôle d’une policière
Les Mariés de l’an II de Jean-Paul Rappeneau
La Poudre d’escampette de Philippe de Broca
La Décade prodigieuse de Claude Chabrol
Elle crée alors sa propre société de productions, « MJ », qui participe notamment à la production de la comédie Juliette et Juliette avec Annie Girardot et Pas si méchant que ça avec Gérard Depardieu. Dans un registre plus dramatique, elle joue avec Jean Yanne dans Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat.

L’actrice se retire peu à peu du monde du cinéma et de la télévision au cours des années 80 et 90. Elle enregistre alors des livres parlés pour enfants et écrit des livres sur la musique.
La belle actrice rousse aux yeux verts et cheveux courts n’est jamais passée inaperçue et elle a exposé sa plastique à plusieurs reprises au cinéma et dans quelques revues masculines comme 20 ans, Lui ou Playmen.
Sa fille, la très sexy Eva Green, née en 1980, est également devenue actrice et fait notamment partie des quelques James Bond girls françaises (Casino Royale en 2008).


Marlène Jobert dans Nous ne vieillirons pas ensemble (1972)

3 réflexions au sujet de « La pin-up de la semaine n°83: Marlène Jobert »

  1. I like redheads….nice one Tom.

    Le passager de la pluie looks like cool flick….I have to see that one.

    Vic Ternetto

  2. La délicieuse et intemporelle Marlène Jobert . Avec Mireille Darc , elle reste pour moi la comédienne sexy et talentueuse des années 60 . je n’oublie pas non plus Romy Schneider et Annie Girardot mais , Marlène ..ah !! c’était quelque chose !!

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